Tu es parti
Toi, mon espoir.
Une partie [de vie]
Où chaque soir
Je sombre dans
Ce désespoir
En attendant
Que tu reviennes [à moi]
Cette part ; t’y
Es vraiment tienne.
Prendre partie ?
Mais pourquoi donc ?
Je suis perdu
Chose quelconque
Pour un pendu
Que je serai
Un jour d’été.
[Très très lointain
De ce chemin]
mercredi 16 avril 2008
Tour Ment Songe
J’ai mal au cœur, à ce cœur-là qui me trahit.
Je ne sais si j’aime ce toi que je vois toujours
Près de moi, et pourtant si loin, cela m’ennuie.
Si c’est ce toi, qui ne sembles avoir de l’amour
Que pour d’autres gens que moi, que j’aime en ce toi,
Si c’est ce toi qui me parles sans que tu voies
Ce que je ressens pour toi, oh, mon cœur est coi,
Oui, coi d’être déchiré entre ces deux choix,
De ne savoir si de l’amour ou de la haine,
Dans ce cœur qui me trahit encore, qui bien mène.
Je ne sais si j’aime ce toi que je vois toujours
Près de moi, et pourtant si loin, cela m’ennuie.
Si c’est ce toi, qui ne sembles avoir de l’amour
Que pour d’autres gens que moi, que j’aime en ce toi,
Si c’est ce toi qui me parles sans que tu voies
Ce que je ressens pour toi, oh, mon cœur est coi,
Oui, coi d’être déchiré entre ces deux choix,
De ne savoir si de l’amour ou de la haine,
Dans ce cœur qui me trahit encore, qui bien mène.
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