Ce sourire du bout de tes lèvres.
Mièvre, je deviens à tes yeux.
Eux, ils me donnent la fièvre.
Lèvres, ô comme je les veux.
Je ne peux résister longtemps.
Pourtant, j’essaie de me retenir.
Te tenir, ce fantasme tentant,
Montant en voyant ton sourire.
Moi, que devrais-je faire encore ?
Lorsque tu es inaccessible,
Cibles-tu mon cœur aux remords
Morts depuis ce rêve impossible ?
dimanche 10 août 2008
Mélancolie d'un songe
Marchant dans le bois, la nature m'apporte
L'inertie du bois, l'innocence d'une fleur,
La douceur de la rosée, des feuilles mortes,
Elle m'offre paix, à ma solitude, ma douleur.
Les rayons solaires ne sont là encore
De cette nature, où règne fraîcheur
D'un songe d'Automne en pleine aurore,
De la mélancolie de la pluie en pleurs.
Ô pluie qui partage mon sentiment,
De tes larmes part cet isolement
Qui longtemps me reste sur le coeur,
De ces pleurs qui se mêlent aux miens,
Je ne peux retenir toutes ces couleurs
Pâles, froides, qui me sert de maintiens.
L'inertie du bois, l'innocence d'une fleur,
La douceur de la rosée, des feuilles mortes,
Elle m'offre paix, à ma solitude, ma douleur.
Les rayons solaires ne sont là encore
De cette nature, où règne fraîcheur
D'un songe d'Automne en pleine aurore,
De la mélancolie de la pluie en pleurs.
Ô pluie qui partage mon sentiment,
De tes larmes part cet isolement
Qui longtemps me reste sur le coeur,
De ces pleurs qui se mêlent aux miens,
Je ne peux retenir toutes ces couleurs
Pâles, froides, qui me sert de maintiens.
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