lundi 24 mars 2008

Le sentiment dur

Je te regarde, je me vois dans cette nuit
Sombre, tu l'es toi, dans mon cœur ainsi brisé
Je ne suis que ça, un simple ami déguisé
Mais ça je ne peux : faire cela qui me nuit.

Noire est cette mer où je voudrais me noyer
Cette eau qui provient de mes larmes depuis
Que j'ai baissé le voile des rêves, détruit
Ce qui reste d'espoir en moi, sans nettoyer.
Chaque fois que je te vois, mon cœur s'arrête,
Me laissant un temps de répit pour pouvoir respirer.

Chaque fois que je t'entends, des frissons dans ma tête
Se promènent, comme si tu me prenais pour une bête.
Chaque fois que je te croise, je ne peux m'empêcher de partir
Discrètement, sans que tu me voies.
Chaque fois que tu ris, je sens la peine m'envahir,
Me disant que tout vas bien sans moi.
Chaque fois que je le peux, j'essaie de disparaître de ta vie
Un objectif, que je me suis fixé, où je reste loin avec mes amis.

samedi 22 mars 2008

Jour désastreux

Je pleure à la vie d'un amour impossible..
Ô Destin, pourquoi cette douloureuse vie!
Une vie où nul ne peut vivre en harmonie.
Rester en vie, n'est plus qu'insurvivable.

Depuis le temps où tous les hommes naissent.
Es-tu aussi insensible aux malheurs des hommes?
Serais-tu aussi lâche face à la réalité en face?
Arriverais-tu encore à voir ce capharnaüm?
Seul toi peut en décider, cher Destin..
Tout peut recommencer, tout peut redevenir comme avant.
Rien ne me convient, dans ce monde, où vivent les chagrins.
Enfin, je te laisse choisir, mais là, je ne suis plus vivant.
Univers délaissé, planète abandonnée.
Xylophagie détruisant le paysage; adieu, destinée...

Rimes et qui voquer ?

De mes yeux entrouverts, j’ai vu ce merveilleux malheur :
Des âmes errantes, des gens, des corps en amas ; l’heure
La minute, la seconde, tout cela semblait absent ;
Où me trouvais-je ? N’est-ce qu’illusion exécrable, sans
L’ombre de cette tendre moitié ? Elle, qui me manque tant,
La reverrai-je un jour ? Aurai-je quand même assez de temps?

Midi : les rayons de soleil englobaient déjà la ville
Qui elle englobait la terre de nos ancêtres : elle était vile.
Vil comme cet air lourd qui englobait le monde, l’atmosphère
Oui, ce monde immonde dans laquelle je vis, telle est notre sphère
Je sortis de chez moi, cherchant Espoir qui s’en est aller
Avant que cette tristesse sur mon corps va s’étaler.

Je marche, je marche, je ne sais où et je déambule.
Je trottine, Espoir j’ai cru voir, non, ce ne sont que des bulles
Qui m’ont dérouté, Peine les a soufflées, par un désespoir
Tristesse me les a amenés. Aurai-je des espoirs
De revoir Espoir pour lui dire tout, tout pour lui pardonner,
Pour lui rendre ce que je ne lui avais pas redonné ?

Là, il commence à faire sombre, l’Astre part donc maintenant
Pour continuer son cycle, de la Lune qui d’une main tenant
Sa lanterne, éclaire peu à peu ciel constellé d’étoiles.
Celles-ci sont comme des points sur ce ciel semblable à une toile.
Ô je te cherche depuis tout ce temps, je ne t’ai trouvé guère
Vais-je parcourir ce monde par terre et mer toujours en guerre ?

Non, je ne désespère pas, je veux te pardonner, je suis bête
Je suis comme cette Furie, qui s’emporte comme une bête
J’abandonne, je le sais, je ne te retrouverai pas
Je marche dans le sens inverse, verse mes larmes sur mes pas
Où Colère m'a frappé sur cette joue. Je lui la tendais.
Peine et Tristesse ont sonné à ma porte. Je les attendais.

Mon...

Parfois, je rêve d'un endroit, beau et clair
À la fois. Je te vois, cueillant une fleur, nouvelle.
Respirant le doux parfum qu'elle exaltère.
Adossé sur mon nuage, ayant perdu mes ailes.
De rester là, je suis obligé. Je te vois de loin
Impossible est pour moi de descendre, te rejoindre
Sans y perdre la raison. Libère-moi de ce qui me retient.

vendredi 21 mars 2008

D’Eddy Cassé à Meza Mih :

[Chère Meza Mih, ]
Jour, ô jour, je t'attends
Élève toi maintenant

Tout le temps que j'ai perdu
A attendre ta venue
Immuable, je le suis
Mais un moment, toi, tu viens
Et tu de me donnes envie
Bien envie, d'être tien.

Innommable est mon nom,
Et le tien me donne une envie,
Non loin de toi, être un ami.

[ Eddy Cassé ]

Rêves tuent au temps que luit de l'espoir

Brodés des bras de Morphée, mes rêves sont bizarres
Imaginés, puisés des images, tout un mixage
Collés l’un à l’autre, tel un patchwork, c’est de l’art.

Voler dans les airs, retomber sur terre.
Etreindre la personne la plus chère.

Risque-t-on une catastrophe inattendue ?
Tout, bien tout, peut être ainsi conçu.

Partir d’un cinéma inconnu au trait familier

Où rentrent de drôle de personnes étrangers
Un cinéma, et hop, un restaurant, que se passe-t –il ?
Rêves étranges, rêves sans sens, rêves incontrôlables.

« Mais pourquoi de telles situations ? »
Expliqua le psychologue Freud.
« Subconscient responsable de l’action. »

Rêves souhaités ou cauchemars, nul ne peut prédire.
Et même si Freud interprète la plupart des détails.
Vaut mieux dire qu’on oublie une grande partie de ces choses
En plus, nous exagérons parfois ces histoires
Seul, celui qui les contrôlera aura la médaille.

jeudi 20 mars 2008

Douce inspiration (poèmes à plusieurs)

Ce que dit l’homme :

Quand là, tu me vois,
Moi le persona non grata
J’espère chaque jour
Que tu sois mon amour

Et même si le destin nous sépare,
Je tenterai tout, mon amour,
Je n’aurais point de désespoir
Car on se reverra un jour. Mais à quel prix…

Ce que dit la femme :

Au prix de baisers doux et suaves

Langoureux et simples qui bravent
Les interdits et les tabous lancés
Par notre monde aux couleurs grincées

Nous serons ensemble,

Quoiqu'il arrive.
Il me semble,
Que les couleurs qui m'entourent sont plus vives.

Et nous volerons de mots doux et légers

Qui embaument notre univers parfumé
Et l'aurore chatouille nos pupilles ouvertes
Sur nos sourires illuminant cette contrée offerte...

mardi 18 mars 2008

Rêves ?

Tout ceci n'est qu'un rêve
Mais il se pourrait un jour qu'il se réalise
Mais j'ne veux pas qu'il s'achève.
Alors je vous donne un plaisir, bonne surprise...

Je te voyais dans la rue.
Venant de l’école.
Je me sentais perdu
Dans cette course folle.

Je te voyais courir
Et tu me percutas
J’ai failli souffrir
Mais tu me réconfortas.

De retour chez moi
En compagnie de toi
Je vis tes larmes couler
Je dus donc t’enlacer

Nos deux corps ensemble
Pendant ce long moment
Je vis tes lèvres, il me semble,
ur les miennes, se collant.

Je n’oublierais jamais
Ce que t’avais fait

Je t’aime...

Le dur sentiment


Chaque fois que je te vois, mon cœur s'arrête,
Me laissant un temps de répit pour pouvoir t'apprécier.
Chaque fois que je t'entends, des frissons dans ma tête
Se promènent, comme si tu m'avais réveillé.
Chaque fois que je te croise, je ne peux m'empêcher de rougir
Discrètement, sans que tu le voies.
Chaque fois que tu ris, je sens la joie m'envahir,
Me disant que tout va pour toi.
Chaque fois que je le peux, j'essaie d'apparaître dans ta vie
Un brin d'espoir heureux, où je laisse parfois d'coté mes amis.

Mais je ne suis rien pour toi, rien du tout
Je ne suis qu'un figurant dans ce décor
Où élèves et profs bougent de partout
Alors, j'attends, que tu me fasses un effort.
Un simple effort, qui me montre que j'ai encore une chance

Que je n'ai point tort, que tu me délivres de cette souffrance
Vaine ou pas, mais néanmoins présente, je tiens le coup
Mais là, le temps qui s'écoule m'enchante et me déplait beaucoup

Me & Myself




Was it really me?



Allez, bon lecture~.