Ces larmes de feu sur mon visage inerte.
Elles m'aveuglent, elles me mènent à ma perte.
Comme cette flamme de l'amour illusoire
Qui découle de cette attitude dérisoire.
Une pluie fine comme des lames de rasoir
M'ouvrira les yeux sur mon état provisoire.
Saupoudre du sel marin sur mes plaies ouvertes,
Que je souffre enfin, que j'aie cette découverte.
dimanche 12 décembre 2010
mercredi 13 octobre 2010
Songe dans les rues parisiennes.
Dans ces immenses rues, où le ciel s'assombrit,
Je marche lentement, accélérant le pas
Pour ne pas me perdre, s'éloigner de l'abri
Précaire des pensées dessinées au compas.
J'aperçois la Beauté poser les yeux sur moi,
Comme si Elle avait su ce que j'éprouve mais
Lorsque je La regarde, Elle me sourit parfois
Et ces pensées alors s'effacent comme fumée.
Ces pensées resurgissent quand je comprends enfin
Qu'Elle n'est pas ce désir que j'ai imaginé.
Je comprends l'illusion inventée de toute main
Par mon esprit songeur dans la panique née.
La panique d'être seul.
La panique de ne pas être compris.
La panique d'être abandonné par ses rêves.
La panique de ne plus être à sa place.
La panique d'aimer, quand on sait que l'autre ne partage pas le même sentiment.
Je marche lentement, accélérant le pas
Pour ne pas me perdre, s'éloigner de l'abri
Précaire des pensées dessinées au compas.
J'aperçois la Beauté poser les yeux sur moi,
Comme si Elle avait su ce que j'éprouve mais
Lorsque je La regarde, Elle me sourit parfois
Et ces pensées alors s'effacent comme fumée.
Ces pensées resurgissent quand je comprends enfin
Qu'Elle n'est pas ce désir que j'ai imaginé.
Je comprends l'illusion inventée de toute main
Par mon esprit songeur dans la panique née.
La panique d'être seul.
La panique de ne pas être compris.
La panique d'être abandonné par ses rêves.
La panique de ne plus être à sa place.
La panique d'aimer, quand on sait que l'autre ne partage pas le même sentiment.
Minimalisme, sentimental.
Sème ces phonèmes
Jusqu'au millième.
Même si tu m'aimes,
Même si tu m'aimes.
Oublie ces problèmes,
Ces autres dilemmes.
Sépare haine de aime,
Sépare haine de aime.
Retiens notre emblème
Ce lien en tungstène
Montrant que je t'aime,
Montrant que je t'aime.
Aime avant Haine.
L'ordre des choses
Aime avant.
Jusqu'au millième.
Même si tu m'aimes,
Même si tu m'aimes.
Oublie ces problèmes,
Ces autres dilemmes.
Sépare haine de aime,
Sépare haine de aime.
Retiens notre emblème
Ce lien en tungstène
Montrant que je t'aime,
Montrant que je t'aime.
Aime avant Haine.
L'ordre des choses
Aime avant.
Complexité verbale.
Hédonisme délétère d'user de verbes blets,
Obsolètes, balbutiés et considérés laids,
Fangeux sont ces cocardiers conservateurs
Au langage qui pour eux, est pur, laudateur.
Ineffables, ces verbes quémandent une place
Au sein du vocabulaire habituel et tenace,
Auprès des mots usités, leur emploi onirique,
Emploi onirique, nantis d'être mots iniques.
Peu leur chaut ce manque d'être usités
Par ces sons produits d'une telle facilité
Qu'ils aient leur munificence espérée
D'êtres inclus aux maximes préférés.
Obsolètes, balbutiés et considérés laids,
Fangeux sont ces cocardiers conservateurs
Au langage qui pour eux, est pur, laudateur.
Ineffables, ces verbes quémandent une place
Au sein du vocabulaire habituel et tenace,
Auprès des mots usités, leur emploi onirique,
Emploi onirique, nantis d'être mots iniques.
Peu leur chaut ce manque d'être usités
Par ces sons produits d'une telle facilité
Qu'ils aient leur munificence espérée
D'êtres inclus aux maximes préférés.
Dualité, épanaphore.
Deux univers distincts
Pour différents destins
S’élève dans le vide
Ce filet de brume
Invisible translucide
Plus légère que plume
Guidé par le doux vent
Vers le toit du ciel
Invisible transparent
Plus haut que terre
Deux univers distincts
Pour différents destins
S’enfuit dans le vide
Ce morceau de cristal
Invisible translucide
Plus solide que métal
Guidé par les galeries
Creusées par le temps
Invisible transparent
Plus rigide que temps
Deux univers distincts
Pour différents destins
Pour différents destins
S’élève dans le vide
Ce filet de brume
Invisible translucide
Plus légère que plume
Guidé par le doux vent
Vers le toit du ciel
Invisible transparent
Plus haut que terre
Deux univers distincts
Pour différents destins
S’enfuit dans le vide
Ce morceau de cristal
Invisible translucide
Plus solide que métal
Guidé par les galeries
Creusées par le temps
Invisible transparent
Plus rigide que temps
Deux univers distincts
Pour différents destins
Antinomique.
Givrante, mais brûlante.
Perçante et dévoreuse.
Cette larme de flamme
Qui me ronge dans l'âme.
Cette étincelle poudreuse
Qui en devient étouffante.
Ce paradoxe à mes yeux
Qui me fait douter sur tout
Ce que j'ai considéré surtout
Comme beau et merveilleux.
L'eau qui brûle sur mon corps
Comme ce feu qui gèle encore.
Perçante et dévoreuse.
Cette larme de flamme
Qui me ronge dans l'âme.
Cette étincelle poudreuse
Qui en devient étouffante.
Ce paradoxe à mes yeux
Qui me fait douter sur tout
Ce que j'ai considéré surtout
Comme beau et merveilleux.
L'eau qui brûle sur mon corps
Comme ce feu qui gèle encore.
samedi 31 janvier 2009
Fascination
Sur ta peau, ces pétales, couvrent ton corps parfait.
Le toucher lentement des mes doigts ainsi satisfaits,
Jamais je n’oserai, je ne veux qu’être humble.
Ce voile de rouge cachant tout me rend faible.
Qu’ils disparaissent, cessant ainsi leur doux effet,
Ce désir grandissant, je me sens imparfait.
Sur ta peau, ces pétales.
J’attends ce vent divin qui rendront satisfaits
Ces fantasmes tentants que longtemps je rêvais.
J’attends de découvrir ces formes admirables
Qui sont recouvertes par ce voile trouble.
Sur ta peau, ces pétales.
Le toucher lentement des mes doigts ainsi satisfaits,
Jamais je n’oserai, je ne veux qu’être humble.
Ce voile de rouge cachant tout me rend faible.
Qu’ils disparaissent, cessant ainsi leur doux effet,
Ce désir grandissant, je me sens imparfait.
Sur ta peau, ces pétales.
J’attends ce vent divin qui rendront satisfaits
Ces fantasmes tentants que longtemps je rêvais.
J’attends de découvrir ces formes admirables
Qui sont recouvertes par ce voile trouble.
Sur ta peau, ces pétales.
mardi 21 octobre 2008
Pluie de cendre
Pluie, ton silence me reste sur le cœur
Ces larmes que tu verses, je comprends
Ces souffrances endurées, cette douleur
Venue depuis ce sentiment, je comprends.
Ces larmes, ces gouttes, je les ressens
Traversent mon cœur pour que tu partages
Ce qui te rend triste, que je le ressens
Cela, je vois dans ces sombres nuages.
Ce silence que tu as longtemps laissé.
Témoigne de cette tristesse blessée.
Ces larmes que tu verses, je comprends
Ces souffrances endurées, cette douleur
Venue depuis ce sentiment, je comprends.
Ces larmes, ces gouttes, je les ressens
Traversent mon cœur pour que tu partages
Ce qui te rend triste, que je le ressens
Cela, je vois dans ces sombres nuages.
Ce silence que tu as longtemps laissé.
Témoigne de cette tristesse blessée.
dimanche 10 août 2008
Désir, quel gâchis.
Ce sourire du bout de tes lèvres.
Mièvre, je deviens à tes yeux.
Eux, ils me donnent la fièvre.
Lèvres, ô comme je les veux.
Je ne peux résister longtemps.
Pourtant, j’essaie de me retenir.
Te tenir, ce fantasme tentant,
Montant en voyant ton sourire.
Moi, que devrais-je faire encore ?
Lorsque tu es inaccessible,
Cibles-tu mon cœur aux remords
Morts depuis ce rêve impossible ?
Mièvre, je deviens à tes yeux.
Eux, ils me donnent la fièvre.
Lèvres, ô comme je les veux.
Je ne peux résister longtemps.
Pourtant, j’essaie de me retenir.
Te tenir, ce fantasme tentant,
Montant en voyant ton sourire.
Moi, que devrais-je faire encore ?
Lorsque tu es inaccessible,
Cibles-tu mon cœur aux remords
Morts depuis ce rêve impossible ?
Mélancolie d'un songe
Marchant dans le bois, la nature m'apporte
L'inertie du bois, l'innocence d'une fleur,
La douceur de la rosée, des feuilles mortes,
Elle m'offre paix, à ma solitude, ma douleur.
Les rayons solaires ne sont là encore
De cette nature, où règne fraîcheur
D'un songe d'Automne en pleine aurore,
De la mélancolie de la pluie en pleurs.
Ô pluie qui partage mon sentiment,
De tes larmes part cet isolement
Qui longtemps me reste sur le coeur,
De ces pleurs qui se mêlent aux miens,
Je ne peux retenir toutes ces couleurs
Pâles, froides, qui me sert de maintiens.
L'inertie du bois, l'innocence d'une fleur,
La douceur de la rosée, des feuilles mortes,
Elle m'offre paix, à ma solitude, ma douleur.
Les rayons solaires ne sont là encore
De cette nature, où règne fraîcheur
D'un songe d'Automne en pleine aurore,
De la mélancolie de la pluie en pleurs.
Ô pluie qui partage mon sentiment,
De tes larmes part cet isolement
Qui longtemps me reste sur le coeur,
De ces pleurs qui se mêlent aux miens,
Je ne peux retenir toutes ces couleurs
Pâles, froides, qui me sert de maintiens.
samedi 31 mai 2008
La ballade des éléments
Brisant, Vague de la mer,
La vie, tu effaces le rien.
Ce goût, dans mon cœur, est amer.
Je ne sais si ça, du cœur, vient
Mais avec toi, je vois enfin
Ce qui me donne froideur.
J’espère que cela n’est rien.
Cela renaît, j’en ai bien peur.
Bise du Vent, tu renais, vert
Des feuilles, couleur, tu deviens.
Ce toucher, dans ce cœur ouvert.
De quel cœur ? S’il s’agit du mien ?
J’y vois en toi ce qu’est câlin
Avec, cette dure douceur.
Bise du Vent vert, tu reviens.
Cela renaît, j’en ai bien peur.
Feu solaire lourd comme le fer
Brûle, à m’en donner chagrin.
Cette flamme, dans mon cœur, fière.
Je ne sais si c’est déjà la fin
D’éteindre avec cette main
Ce qui n’est que pour toi, chaleur.
J’espère que cela n’est vain.
Cela renaît, j’en ai bien peur.
Personne de mon cœur, tu viens
Dans ce jardin rempli de fleurs,
Cette étreinte, tu te souviens.
Cela renaît, j'en ai bien peur.
La vie, tu effaces le rien.
Ce goût, dans mon cœur, est amer.
Je ne sais si ça, du cœur, vient
Mais avec toi, je vois enfin
Ce qui me donne froideur.
J’espère que cela n’est rien.
Cela renaît, j’en ai bien peur.
Bise du Vent, tu renais, vert
Des feuilles, couleur, tu deviens.
Ce toucher, dans ce cœur ouvert.
De quel cœur ? S’il s’agit du mien ?
J’y vois en toi ce qu’est câlin
Avec, cette dure douceur.
Bise du Vent vert, tu reviens.
Cela renaît, j’en ai bien peur.
Feu solaire lourd comme le fer
Brûle, à m’en donner chagrin.
Cette flamme, dans mon cœur, fière.
Je ne sais si c’est déjà la fin
D’éteindre avec cette main
Ce qui n’est que pour toi, chaleur.
J’espère que cela n’est vain.
Cela renaît, j’en ai bien peur.
Personne de mon cœur, tu viens
Dans ce jardin rempli de fleurs,
Cette étreinte, tu te souviens.
Cela renaît, j'en ai bien peur.
samedi 10 mai 2008
Chat qui griffe
Crocs ou dents, qu'importe. Ce qui est important ce sont ces canines
Hachantes ou piquantes, mais au moins bien présentes.
Allongé, lové, dans un panier, cassant ainsi, la réputation féline
Tenant entre ses bras, une pelote. Chassant la bête ahurissante.
Quelle bizarre cruauté que Dieu donne ainsi à une souris la pensante
Unique et terrifiante fonction de proie, d’en-cas à un chat, comme une sardine ;
Il faudrait peut-être penser que sa petitesse est un point fort, c’est une combattante !
Gardez cela pour vous, mais gardez cela quand même, la création divine
Reste tout de même mystérieuse, car elle a donné à nous, humains, la plus portante
Importante, et pour les tempes, d’une réflexion, certes supérieur aux animaux :
« Fort ! tu es
Fort ! tu es Homme
Écrièrent un jour le chat et la souris qui prirent dans ma tête parole, Fort tu es Homme, plus que la famille féline.
Hachantes ou piquantes, mais au moins bien présentes.
Allongé, lové, dans un panier, cassant ainsi, la réputation féline
Tenant entre ses bras, une pelote. Chassant la bête ahurissante.
Quelle bizarre cruauté que Dieu donne ainsi à une souris la pensante
Unique et terrifiante fonction de proie, d’en-cas à un chat, comme une sardine ;
Il faudrait peut-être penser que sa petitesse est un point fort, c’est une combattante !
Gardez cela pour vous, mais gardez cela quand même, la création divine
Reste tout de même mystérieuse, car elle a donné à nous, humains, la plus portante
Importante, et pour les tempes, d’une réflexion, certes supérieur aux animaux :
« Fort ! tu es
Fort ! tu es Homme
Écrièrent un jour le chat et la souris qui prirent dans ma tête parole, Fort tu es Homme, plus que la famille féline.
mercredi 16 avril 2008
Partie, part t’y, parti.
Tu es parti
Toi, mon espoir.
Une partie [de vie]
Où chaque soir
Je sombre dans
Ce désespoir
En attendant
Que tu reviennes [à moi]
Cette part ; t’y
Es vraiment tienne.
Prendre partie ?
Mais pourquoi donc ?
Je suis perdu
Chose quelconque
Pour un pendu
Que je serai
Un jour d’été.
[Très très lointain
De ce chemin]
Toi, mon espoir.
Une partie [de vie]
Où chaque soir
Je sombre dans
Ce désespoir
En attendant
Que tu reviennes [à moi]
Cette part ; t’y
Es vraiment tienne.
Prendre partie ?
Mais pourquoi donc ?
Je suis perdu
Chose quelconque
Pour un pendu
Que je serai
Un jour d’été.
[Très très lointain
De ce chemin]
Tour Ment Songe
J’ai mal au cœur, à ce cœur-là qui me trahit.
Je ne sais si j’aime ce toi que je vois toujours
Près de moi, et pourtant si loin, cela m’ennuie.
Si c’est ce toi, qui ne sembles avoir de l’amour
Que pour d’autres gens que moi, que j’aime en ce toi,
Si c’est ce toi qui me parles sans que tu voies
Ce que je ressens pour toi, oh, mon cœur est coi,
Oui, coi d’être déchiré entre ces deux choix,
De ne savoir si de l’amour ou de la haine,
Dans ce cœur qui me trahit encore, qui bien mène.
Je ne sais si j’aime ce toi que je vois toujours
Près de moi, et pourtant si loin, cela m’ennuie.
Si c’est ce toi, qui ne sembles avoir de l’amour
Que pour d’autres gens que moi, que j’aime en ce toi,
Si c’est ce toi qui me parles sans que tu voies
Ce que je ressens pour toi, oh, mon cœur est coi,
Oui, coi d’être déchiré entre ces deux choix,
De ne savoir si de l’amour ou de la haine,
Dans ce cœur qui me trahit encore, qui bien mène.
lundi 24 mars 2008
Le sentiment dur
Je te regarde, je me vois dans cette nuit
Sombre, tu l'es toi, dans mon cœur ainsi brisé
Je ne suis que ça, un simple ami déguisé
Mais ça je ne peux : faire cela qui me nuit.
Noire est cette mer où je voudrais me noyer
Cette eau qui provient de mes larmes depuis
Que j'ai baissé le voile des rêves, détruit
Ce qui reste d'espoir en moi, sans nettoyer.
Chaque fois que je te vois, mon cœur s'arrête,
Me laissant un temps de répit pour pouvoir respirer.
Chaque fois que je t'entends, des frissons dans ma tête
Se promènent, comme si tu me prenais pour une bête.
Chaque fois que je te croise, je ne peux m'empêcher de partir
Discrètement, sans que tu me voies.
Chaque fois que tu ris, je sens la peine m'envahir,
Me disant que tout vas bien sans moi.
Chaque fois que je le peux, j'essaie de disparaître de ta vie
Un objectif, que je me suis fixé, où je reste loin avec mes amis.
Sombre, tu l'es toi, dans mon cœur ainsi brisé
Je ne suis que ça, un simple ami déguisé
Mais ça je ne peux : faire cela qui me nuit.
Noire est cette mer où je voudrais me noyer
Cette eau qui provient de mes larmes depuis
Que j'ai baissé le voile des rêves, détruit
Ce qui reste d'espoir en moi, sans nettoyer.
Chaque fois que je te vois, mon cœur s'arrête,
Me laissant un temps de répit pour pouvoir respirer.
Chaque fois que je t'entends, des frissons dans ma tête
Se promènent, comme si tu me prenais pour une bête.
Chaque fois que je te croise, je ne peux m'empêcher de partir
Discrètement, sans que tu me voies.
Chaque fois que tu ris, je sens la peine m'envahir,
Me disant que tout vas bien sans moi.
Chaque fois que je le peux, j'essaie de disparaître de ta vie
Un objectif, que je me suis fixé, où je reste loin avec mes amis.
samedi 22 mars 2008
Jour désastreux
Je pleure à la vie d'un amour impossible..
Ô Destin, pourquoi cette douloureuse vie!
Une vie où nul ne peut vivre en harmonie.
Rester en vie, n'est plus qu'insurvivable.
Depuis le temps où tous les hommes naissent.
Es-tu aussi insensible aux malheurs des hommes?
Serais-tu aussi lâche face à la réalité en face?
Arriverais-tu encore à voir ce capharnaüm?
Seul toi peut en décider, cher Destin..
Tout peut recommencer, tout peut redevenir comme avant.
Rien ne me convient, dans ce monde, où vivent les chagrins.
Enfin, je te laisse choisir, mais là, je ne suis plus vivant.
Univers délaissé, planète abandonnée.
Xylophagie détruisant le paysage; adieu, destinée...
Ô Destin, pourquoi cette douloureuse vie!
Une vie où nul ne peut vivre en harmonie.
Rester en vie, n'est plus qu'insurvivable.
Depuis le temps où tous les hommes naissent.
Es-tu aussi insensible aux malheurs des hommes?
Serais-tu aussi lâche face à la réalité en face?
Arriverais-tu encore à voir ce capharnaüm?
Seul toi peut en décider, cher Destin..
Tout peut recommencer, tout peut redevenir comme avant.
Rien ne me convient, dans ce monde, où vivent les chagrins.
Enfin, je te laisse choisir, mais là, je ne suis plus vivant.
Univers délaissé, planète abandonnée.
Xylophagie détruisant le paysage; adieu, destinée...
Rimes et qui voquer ?
De mes yeux entrouverts, j’ai vu ce merveilleux malheur :
Des âmes errantes, des gens, des corps en amas ; l’heure
La minute, la seconde, tout cela semblait absent ;
Où me trouvais-je ? N’est-ce qu’illusion exécrable, sans
L’ombre de cette tendre moitié ? Elle, qui me manque tant,
La reverrai-je un jour ? Aurai-je quand même assez de temps?
Midi : les rayons de soleil englobaient déjà la ville
Qui elle englobait la terre de nos ancêtres : elle était vile.
Vil comme cet air lourd qui englobait le monde, l’atmosphère
Oui, ce monde immonde dans laquelle je vis, telle est notre sphère
Je sortis de chez moi, cherchant Espoir qui s’en est aller
Avant que cette tristesse sur mon corps va s’étaler.
Je marche, je marche, je ne sais où et je déambule.
Je trottine, Espoir j’ai cru voir, non, ce ne sont que des bulles
Qui m’ont dérouté, Peine les a soufflées, par un désespoir
Tristesse me les a amenés. Aurai-je des espoirs
De revoir Espoir pour lui dire tout, tout pour lui pardonner,
Pour lui rendre ce que je ne lui avais pas redonné ?
Là, il commence à faire sombre, l’Astre part donc maintenant
Pour continuer son cycle, de la Lune qui d’une main tenant
Sa lanterne, éclaire peu à peu ciel constellé d’étoiles.
Celles-ci sont comme des points sur ce ciel semblable à une toile.
Ô je te cherche depuis tout ce temps, je ne t’ai trouvé guère
Vais-je parcourir ce monde par terre et mer toujours en guerre ?
Non, je ne désespère pas, je veux te pardonner, je suis bête
Je suis comme cette Furie, qui s’emporte comme une bête
J’abandonne, je le sais, je ne te retrouverai pas
Je marche dans le sens inverse, verse mes larmes sur mes pas
Où Colère m'a frappé sur cette joue. Je lui la tendais.
Peine et Tristesse ont sonné à ma porte. Je les attendais.
Des âmes errantes, des gens, des corps en amas ; l’heure
La minute, la seconde, tout cela semblait absent ;
Où me trouvais-je ? N’est-ce qu’illusion exécrable, sans
L’ombre de cette tendre moitié ? Elle, qui me manque tant,
La reverrai-je un jour ? Aurai-je quand même assez de temps?
Midi : les rayons de soleil englobaient déjà la ville
Qui elle englobait la terre de nos ancêtres : elle était vile.
Vil comme cet air lourd qui englobait le monde, l’atmosphère
Oui, ce monde immonde dans laquelle je vis, telle est notre sphère
Je sortis de chez moi, cherchant Espoir qui s’en est aller
Avant que cette tristesse sur mon corps va s’étaler.
Je marche, je marche, je ne sais où et je déambule.
Je trottine, Espoir j’ai cru voir, non, ce ne sont que des bulles
Qui m’ont dérouté, Peine les a soufflées, par un désespoir
Tristesse me les a amenés. Aurai-je des espoirs
De revoir Espoir pour lui dire tout, tout pour lui pardonner,
Pour lui rendre ce que je ne lui avais pas redonné ?
Là, il commence à faire sombre, l’Astre part donc maintenant
Pour continuer son cycle, de la Lune qui d’une main tenant
Sa lanterne, éclaire peu à peu ciel constellé d’étoiles.
Celles-ci sont comme des points sur ce ciel semblable à une toile.
Ô je te cherche depuis tout ce temps, je ne t’ai trouvé guère
Vais-je parcourir ce monde par terre et mer toujours en guerre ?
Non, je ne désespère pas, je veux te pardonner, je suis bête
Je suis comme cette Furie, qui s’emporte comme une bête
J’abandonne, je le sais, je ne te retrouverai pas
Je marche dans le sens inverse, verse mes larmes sur mes pas
Où Colère m'a frappé sur cette joue. Je lui la tendais.
Peine et Tristesse ont sonné à ma porte. Je les attendais.
Mots-clés
poème,
rimes équivoquées,
sentiment,
toi?
Mon...
Parfois, je rêve d'un endroit, beau et clair
À la fois. Je te vois, cueillant une fleur, nouvelle.
Respirant le doux parfum qu'elle exaltère.
Adossé sur mon nuage, ayant perdu mes ailes.
De rester là, je suis obligé. Je te vois de loin
Impossible est pour moi de descendre, te rejoindre
Sans y perdre la raison. Libère-moi de ce qui me retient.
À la fois. Je te vois, cueillant une fleur, nouvelle.
Respirant le doux parfum qu'elle exaltère.
Adossé sur mon nuage, ayant perdu mes ailes.
De rester là, je suis obligé. Je te vois de loin
Impossible est pour moi de descendre, te rejoindre
Sans y perdre la raison. Libère-moi de ce qui me retient.
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